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Toi et toi et encore toi

Toi et toi et encore toi
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3 janvier 2005

Dans tes bras

Blottie dans tes bras, je te parlais, heureuse de te sentir près de moi, comblée par ta présence, ton amour, ta tendresse, ta passion. C'est si bon de pouvoir parler ainsi de tout et de rien, de choses très sérieuses et de celles de moindre importance, c’est bon d’écouter ta voix, bon de sentir la chaleur de ton étreinte, bon de caresser ton corps, de sentir tes mains glisser sur le mien. C’est si bon de vivre un amour à la fois délicat comme une rose aux épines tendres et solide comme une roche baignée par le torrent limpide des instants merveilleux que nous vivons. C’est déjà très bon comme cela.

Puis la tendresse nous submerge à un tel point que les épines disparaissent et la rose s’épanouit en son plein éclat. Ses pétales changent de couleur, l'une plus merveilleuse que l'autre, tandis que tu me dis en hésitant juste une seconde: "Tu sais..." et puis viennent des mots qui plongent au fond de mon coeur et y restent gravés pour toujours, si précieux que je ne peux même pas les noter. Non, ça, je ne le savais pas. Et tu m’as comblée en prononçant ces mots, et un peu plus tard d’autres encore. Des mots que je garde en moi, pour moi. Des mots semblables à des pierres précieuses que tu m’offres.

C’est déjà très bon de pouvoir rester blottie dans tes bras rassurants. Mais entendre ton coeur parler, s'enivrer de la beauté de tes mots inattendus est le comble du bonheur jusqu'à présent. Et c'est si bon d'espérer qu'un jour il y en aura d'autres. Si bon de savoir que ces mots sont pour moi. Tu es mon bonheur.

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28 décembre 2004

Cadeau

Tu ne dis pas toujours ce que j'aurais envie d'entendre, bien que tu saches que j'en aie envie. Alors mon coeur se serre et se révolte en silence. Je ne dis rien, je ne suis pas une petite fille capricieuse. Je suis un peu triste. Je vais te voir. J'entre dans ta chambre. Et là, sur le mur, je lis, peints, les mots que je voulais entendre plus tôt.

«Mais tu es fou!» je dis tandis que mon coeur chante de bonheur. «Tu es fou, fou, fou, comment vas-tu effacer ça?»

 «Je n'effacerai pas» dis-tu en me prenant dans tes bras.

 Et le monde cesse d'exister, noyé dans la tendresse de ton regard.

28 décembre 2004

Parfois et toujours

 

Parfois, j'ai l'impression d'être une larme que tu gardes précieusement au creux de ta paume.

Parfois, il me semble que je suis une poignée d'argile que tu modèles à ta guise.

Parfois, je me sens comme une étoile dont l'éclat se nourrit de ton regard.

Parfois, je suis juste un mot, une caresse, un brin de tendresse, une étincelle de passion qui s'attise sous le toucher magique tes beaux doigts et ternit dans la solitude de ton absence.

Mais toujours, je suis à toi, pour toi, avec toi. Je suis une promesse qui n'a pas à être faite, je suis l'Amour et la Douleur, je suis l'Espoir et la Patience.

Toujours, tu es la Magie ou le Silence, l'Appréhension ou le Réconfort, toujours, tu sais me parler au-delà des mots, me toucher au-delà des caresses, m'ouvrir au-delà de l'audace.

Toujours, nous ne sommes qu'un homme et une femme dont le hasard a croisé les chemins. Toujours, nous sommes une histoire, comme d'autres histoires, pareille, et pourtant si différente, émouvante, apaisante ou difficile – notre histoire. 

25 décembre 2004

Amour

Je te vois encore sourire, j'entends tes mots doux d'autant plus précieux qu'ils ne sont pas prononcés trop souvent, je sens tes lèvres qui embrassent les miennes très, très tendrement puis glissent sur mon corps pour le couvrir de baisers fougueux. Ta tendresse m'envoûte, ta passion rejoint la mienne et les deux nous emportent loin, très loin. J'aime te regarder et t'écouter au moment où nos jouissances se rejoignent elles aussi. Je reste dans tes bras, j'aime enfouir ma tête dans ton cou, respirer l'odeur de ta peau, sentir sa chaleur, caresser ton corps que j'aime et que je désire toujours davantage.

Tu es parti, j'ai fermé la porte, et je me suis replongée dans mon quotidien en tâchant de ne pas trop penser à toi. Un peu plus tard, un message sur mon portable, avec encore des mots précieux et envoûtants.

Je t'aime aussi.            

18 décembre 2004

Rencontre

 

Tu es entré en silence et tu es venu t'asseoir a mes côtés. De mes paumes, j'ai fait glisser de ton visage la fatigue et le froid du dehors. De tes lèvres, tu as chassé la solitude de mes paupières, assouvi la soif de ma bouche. Nos bras se sont rejoints en un cercle de tendresse. Tu es là. C'est bon.  

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18 décembre 2004

Ton regard

Lorsque mes yeux se fermeront cette nuit pour se laisser aller au sommeil, l'antre de mes rêves sera illuminé par la douceur de ton regard.

 

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